jeudi 29 novembre 2018

Standby à Prickly bay

Nous avons pris nos quartiers à Prickly Bay en attendant nos amis encore entrain de bosser à Trinidad... Il nous restait à voir Sauteur et les environs que nous n'avions pas encore visités.Alors allons y.
Comme d'habitude nous empruntons le Taxico n°1 jusqu'au terminal de St George. Nous retrouvons Marc et Catherine l'équipage d'un Ovni rencontré à Trinidad pour prendre un autre Taxico en direction de Grenville.
Par rapport à notre précédente visite,quel changement !! plus de sargasses, pas d'odeur d’œuf pourri.
Nous retournons par plaisir au marché aux poissons


Nous entrainons nos amis à la coopérative de noix muscade avant de reprendre un Taxico pour Sauteur.
Sauteur bay

anse de Sauteur
Nous mangeons dans un petit restau surplombant la baie,d'où nous voyons la digue qui sera prochainement allongée pour casser un peu plus la houle qui rentre . Tourisme, tourisme ........
Le tour de la ville est rapidement effectué. Nous repartons en direction de Grenville en faisant un petit stop dans une fabrique de chocolat,celle du Père Noël !!!!!
On nous explique les différentes étapes qui permettent en partant de la cabosse d'arriver au carré de chocolat.
 


Tri des noix de cacao




séchage des noix de cacao



Ensuite retour toujours en Taxico vers Prickly Bay.

Depuis 25 ans nous avons toujours le même moteur Hors Bord. Il fonctionne encore plus ou moins correctement........ en y mettant quand même assez souvent le nez dedans. Depuis quelques temps nous avions quand même l'envie d'en acheter un neuf dans le secteur,car on trouve sans problème des moteurs 2 temps, bien plus légers et mécaniquement très simple en comparaison aux nouveaux 4 temps qu'on nous impose en Europe. Nous nous sommes donc mis à la recherche  d'un 5ch amplement suffisant pour notre titine. Finalement on a replongé pour un Mercury 5ch la copie presque conforme de son grand frère. Impec je pourrai le démonter les yeux fermés si besoin en est.

Nous voilà repartis pour 25 ans on espère.......



prickly bay Grenade


L'entrée de la baie ne pose pas de difficultés . Le mouillage est divisé en 2 parties. Il y a beaucoup de corps morts, mais on arrive encore à trouver des endroits pour mouiller sur son ancre.Par vent de secteur E/SE soutenu le mouillage devient rouleur.
Customs et immigration : venir en annexe au ponton de la petite marina au fond à droite ,les bureaux sont à l'étage du bâtiment.
Gasoil, eau      possibilité au ponton de la marina
Wifi      Aux bars dans chacune des baies.
Approvisionnement : Une petite épicerie avec le strict minimum.
Un boucher Français avec  de la bonne viande et même du fromage pour ceux qui sont en manque
Pour les courses plus importantes, il faut aller en annexe dans la baie de gauche. Laisser son annexe au petit ponton. Sortir de la marina, tourner à droite et marcher jusqu'au rond point. Prendre un Taxico n°1 en direction de St Georges 2.5 EC/P  Première possibilité descendre à Grande Anse où il y a un grand supermarché.
           Deuxième possibilité continuer jusqu'au terminus de St Georges, où on trouve le marché aux poissons juste à côté ,le marché aux légumes et plusieurs super marché du genre Foodland.
Excursions
Pour nous tout s'est fait en Taxico. Passer en premier lieu à l'office du tourisme à côté des pompiers dans la baie du Carénage. On vous remettra une carte de l'île et  un récapitulatif des différents bus avec leur numéro suivant la destination, et le tarif. Pratique, peu onéreux, permettant de se mélanger aux locaux, mais parfois un peu stressant suivant le conducteur.
Shipchandler 
Dans la baie de gauche il y a un Budget bien achalandé. Il y a également une voilerie,et un gréeur.
Bricolage     Grand magasin ACE équivalent à nos bricotruc...... en sortant a droite à environ 600 m en suivant la voie rapide.













dimanche 25 novembre 2018

Direction Grenade


Mon anniversaire à  bien été arrosé une première fois avec des navigateurs du chantier avec lesquels nous avons sympathisé. Nous nous sommes installés sur une table au bord de l’eau sous les cocotiers sous un beau clair de lune la pluie ayant bien voulu faire une trêve.

 
Comme d’habitude chacun avait apporté sa contribution au repas. Marcel nous a sorti quelques bonnes bouteilles de vin rouge d’Afrique du sud vieillies en fond de cale bercées par le roulis du bateau lors de sa remontée de l’atlantique sud qui sont venues s'ajouter au Fitou et Minervois bien de chez nous pour arroser dignement mes 63 ans.





Comme la tradition le veut j’ai soufflé les bougies dizaine et unité sinon j’aurai certainement eu le souffle un peu court........


 
Le lendemain dans la matinée nous sommes allés faire les formalités de départ et en milieu d’après midi Patricia et François sont venus nous larguer les amarres et nous avons pris la mer direction Grenade.



   Le début de la traversée était super, bon vent au près bon plein, mer pas trop agitée, pleine lune le pied !!
En milieu de nuit le ciel s'est chargé, et les dieux de la météo ont voulu eux aussi arroser mon anniversaire mais d’une manière différente. Le vent a forci et on a pris une succession de grains impressionnants par la flotte qu'on a reçu. On a du manœuvrer sans arrêt, prendre les ris les relâcher avec le vent qui passait de 12 kt à 34 en quelques minutes avec des rideaux de pluie à l'horizontale. Inutile de vous dire qu'on n'a pas dormi une minute et qu'on est arrivé rincés à Prickly Bay. Pendant la Transat on en avait eu aussi des grains , mais ceux là étaient d'un niveau nettement au dessus. Après 14h , de traversée nous avons laissé tomber notre ancre,notre priorité étant de se mettre des vêtements secs avant d’aller faire un petit roupillon.


 
Après 2h de sieste, on est allé faire les formalités d'entrée. Ensuite il a fallu bouger le bateau ,car il y a de bouées partout et on ne peut plus mouiller à proximité,même si on ne gêne pas!!. On nous a fait comprendre qu'il fallait dégager et vu notre peu d'empressement on nous a menacé de faire venir les Coast Guard!!!  j'adore ces conditions de navigation....
Ensuite tout le restant de la journée la journée il a fait beau , l'air est bien plus sec qu'à Trinidad qu’on ne regrette pas d’avoir quitté.










 
Après 2h de sieste et on est allé faire les formalités d'entrée. Ensuite il a fallu bouger le bateau ,car il y a de bouées partout et on ne peut plus mouiller proximité,même si on ne gêne pas. On nous a fait comprendre qu'il fallait dégager et vu notre peu d'empressement on nous a menacé de faire venir les Coast Guard!!!  j'adore ces conditions de navigation....
Ensuite tout le restant de la journée la journée il a fait beau , l'air est bien plus sec qu'à Trinidad qu’on ne regrette pas d’avoir quitté.















samedi 17 novembre 2018

Trinidad Chaguaramas

L'entrée dans la baie ne pose pas de problème particulier. En entrant à gauche on trouve Peake suivi de Power Boat  les deux plus gros chantiers du secteur.En attendant de prendre contact , on peut mouiller sur ancre mais peu de place; ou se mettre sur une  des bouées  rouge gérées par un local habitant sur un petit Cata au mouillage qui viendra vous voir pour percevoir son dû. Environ 10€/j
Chacun des chantiers possède un petit port pour annexe afin d'accéder facilement à terre.
Douane immigration : Au niveau de la petite marina repérable par un phare blanc et rouge.
Pour les dames.... se présenter dans une tenue avec manches sinon expulsion directe du bureau de la douane par une Cerbère qui vous aboie dessus .L'immigration est juste à côté.

Trinidad Dollars  (Titi)
Pas de tirette à Chaguaramas mais au bureau des chantiers on peut changer des Euros en Titi dans un premier temps.La première tirette se trouve à côté du super marché Massy (voir plus loin)
 1 euro = 7 titi    en 2018  (cours variable évidemment)
Eau,gasoil, gaz 
 Eau et gasoil au ponton de Power Boat

 gasoil à 6.6 TT soit environ 0.88E/L  (2018)
Pour le gaz chez Peake déposer les bouteilles en marquant le nom du bateau dessus le vendredi matin à l'entrée.Elles sont ramassées dans la matinée et restituées le lundi. Camping  gaz 75TT soiy un peu plus de 10 €
Approvisionnement
Chaque chantier possède une petite épicerie où on peut trouver les produits de première nécessité.
Une épicerie un peu plus importante se trouve du côté de la marina,y aller en annexe pour éviter de faire le tour de la baie à pied.
Pour les grandes courses, le mieux est d'aller au Massy à Carénage  . Il faut prendre le Taxico blanc et jaune qui passe devant la sortie des chantiers (5 tt) environ 15mn de trajet.
On peu éventuellement pousser à Port of Spain pour se rendre au marché aux légumes . Attendre le terminus de la gare routière qui se trouve juste à l'entrée du centre ville.
A noter qu'à la sortie des chantiers le midi, il y a des guinguettes qui proposent des repas à emporter dans des barquettes pour 30à 40 TT . C'est bon pour un prix vraiment modique , ça ne vaut pas la peine de se préparer le repas sauf si on reste longtemps au bout d'un moment ça manque de varièté

Bricolage et accastillage
On trouve de tout !! Chaguaramas est connu pour abriter de nombreux ateliers avec des gens compétents pour un tarif raisonnable.
Chaque chantier à sa boutique de shipchandler et il y a en plus un budget sur la route en sortant à droite. Par contre l'antifouling est cher , dans la mesure du possible il est préférable de le prendre à Grenade ou du marin.Pour les batteries même chose , le meilleur rapport qualité prix est au Marin avec en plus pas trop de difficulté pour les trimbaler.










jeudi 8 novembre 2018

Début de la nouvelle saison

Le retour vers Chaguaramas, s'est fait sans trop de soucis. Kiki et Serge nos amis Toulousains sont venus nous chercher à domicile, vraiment sympas ! Nous avons passé la nuit chez eux et nous avons pris la route pour Blagnac. Un premier avion nous a déposé à Paris, puis ensuite un Boeing 777 nous a fait traverser l'Atlantique en 8h pour arriver vers 17h locale à Fort de France. En sortant de l'avion nous avons loué une voiture  et nous sommes allés jusqu'à la pointe du bout pour retrouver Xavier un navigateur que nous avions rencontré au Cap Vert. Nous avons passé une soirée sympa ensemble, il nous a hébergé pour la nuit à son bord. Le lendemain matin retour de la voiture et dans la foulée départ pour La Barbade. Changement d'avion avec toutes les tracasseries qui vont avec……. Re passage à la douane alors que nous sommes qu'en transit, ouverture des sacs, scanners, portique qui sonne à cause des œillets métalliques de godasses ! j'ai failli être pris pour un terroriste…….
Nouveau départ avec une petite escale à Grenade et enfin Port of Spain.
Première petite difficulté….. nous arrivons un jour férié, donc pas de taxico. Du coup nous négocions un vrai taxi, on s'en tire pas trop mal 40€, vu la distance le prix reste correct.
Dans le chantier nous tournons un peu pour trouver le bateau car il a été déplacé de l'endroit où il était initialement. Une échelle a été placée à l'arrière du bateau pour que nous puissions y accéder. A l'ouverture de la porte, nous sommes pris par une forte odeur de moisi. Malgré tout le soin que nous avions apporté pour que tout soit nickel des moisissures ont réussi à se développer sur le vaigrage de la cabine avant. A l'extérieur tous les cordages sont verts et sentent la vase…… on dirait que le coin est humide !
le bateau voisin est recouvert d'une toile
qui à l'origine devait être blanche......
 Nous avons pris contact avec les responsables du chantier pour avoir l'explication du déplacement du bateau. Il y a eu un tremblement de terre entre Tobago et Trinidad de magnitude 5.6. Cela a engendré un petit Tsunami qui a emporté le peu de terrain qui restait derrière le bateau. Avant qu'il ne soit trop tard tous les bateaux  qui étaient trop proches de l'eau ont été déplacés. Dans le chantier voisin le bar où nous étions allés voir la finale de la coupe du monde n'a pas résisté à l’assaut des vagues et des secousses sysmiques , il a été complètement rasé !!


 Pour nous la catastrophe n'est pas passée loin.
Après 2 jours de travail la coque est prête à recevoir le nouvel antifouling , mais je dois me résoudre à jeter l'éponge.... j'avais oublié une chose la pluie !!! vous savez comme j'adore.





Vous me direz après les inondations dans l'Aude on est habitué . D'après le radar de pluie ça va tomber dru . Ce qui me fait un peu râler c'est que c'est juste au dessus de nos têtes!!

En quelques heures le chantier est transformé en piscine. On se retrouve avec 15cm d'eau sous le bateau , le petit caniveau est devenu un ruisseau ,me prenant au passage un bidon de diluant  et un paquet de lessive.... Des outils restés au pied du bateau ont pris un bon bain, et aussi vite que l'eau est montée , elle est repartie .  Quel pays !
En deux jours de grattage au "scrapper "je suis venu à bout de l'antifouling de la saison passée. La coque est prête à recevoir le nouvel antifouling, cette année on fera dans le noir il n'y avait pas de rouge. Flo développe une nouvelle technique pour étendre sa peinture.....,en 2 jours de plus nous en avons terminé, 2 couches sont étalées y compris sous les patins que nous desserrons un par un.


 Ensuite gros point d'interrogation sur la bague de safran qui a repris du jeu..... Le problème est que je ne peux pas sortir entièrement le safran. La bride de la bielle du pilote automatique a été monté par un génie de la mécanique ! qui a mis une goupille en inox  oblique par rapport aux boulons et qui en prime débouche dans la bielle. Avec le temps l'inox et l'alu se sont "soudés" par électrolyse. En dehors d'une technique destructive il est impossible de l'enlever et donc de sortir totalement le safran.
Ma chance c'est que le mastic colle a totalement disparu suite aux pressions de l'eau sur le safran ,et qu'elle descend toute seule sans effort. Elle n'est pas abimée, je vérifie l'épaisseur au pied à coulisse,elle est dans les normes, donc je ne la remplace pas. Un bon coup de papier de verre pour faire partir le vert de gris sur l'extérieur de la bague, idem dans le tube de jaumière pour enlever les résidus de l'ancien mastic réduit à l'épaisseur d'une feuille à cigarette, les surfaces sont prêtes.
Je règle le frottement en tortillant un bout de fil inox, ceci fait je place un petit ruban de grey tape autour de la bague pour garder le diamètre et je coupe le fil inox. Maintenant je n'ai plus qu'à tartiner de Sika et à remettre en place la bague dans son logement et attendre que le mastic soit bien sec . On croise les doigts en espérant que cette fois ça tiendra un peu plus que 6000 Mn.
Dans la liste des travaux il y a le remplacement de la turbine, chose qui normalement prend peu de temps. Après l'avoir enlevée je me rends compte que le ressort du joint spi est complétement bouffé par la rouille. Probablement qu'on m'aura refourgué un ressort en acier pas inox !! Donc à changer.
Je commence à connaitre parfaitement  l'opération , mais ça reste toujours "sportif" pour sortir le circlips. Après plusieurs essais ponctués de :mer..... salop..... je finis par en venir à bout ensuite la suite de l'opération se fait sans problème. Il n'y a plus qu'à remonter la pompe et vérifier son bon fonctionnement. Je lance le moteur, la pompe ne s’amorce pas . Du coup je débraye le moteur un petit coup d'accélérateur ,et voilà l'eau se met à couler. Parfait! j'arrête le moteur et en remettant la manette au neutre le petit bouton qui sert à débrayer ne veut pas revenir en place,  le levier de marche avant arrière se retrouve bloqué.  Merdum, merdum. Il me faudra toute la fin de la matinée pour arriver à démonter le mécanisme par l'intérieur ,car une petite vis inox est totalement bloquée dans la manette en alu.Ensuite avec quelques rasades de WD40, le problème va se résoudre.
Pour terminer un petit tour en tête de mat pour inspecter le gréement, et donner un coup de WD40 sur l"anémo qui semble bloqué. Effectivement les roulements n'ont pas apprécié ce temps humide  ça couine... quelques rasades de la potion miracle et ça repart.
.16 novembre en fin le grand jour.Le chariot hydraulique vient se positionner sous le bateau les patins sont ajustés, la traverse placée sous la quille, le tout remonte et en avant pour la darse de mise à l'eau


Passage de la remorque au travelift en 2 temps 3 mouvements, un petit coup de rouleau sous la quille et à l'endroit des patins et le bateau rejoint son élément

Nous parcourons quelques dizaines de mètres pour aller nous mettre au petit port. La manœuvre, n'est pas simple , le vent est de travers ainsi qu' un courant assez fort plus le pas de l'hélice qui me tire du mauvais côté.... Tranquillement nous préparons  un long bout pour accrocher la bouée , les amarres arrière sont prêtes à être lancées ; on se lance dans la manœuvre. Des amis du chantier sont venus pour nous prendre les amarres ce qui facilite grandement la chose. Finalement tout se passe bien et nous voilà à quai. Comme le ressac est assez fort , le chantier met à notre disposition une planche qui nous sert de passerelle pour descendre. Tout va bien.
Pour nous remettre des efforts qui nous ont fait quand même beaucoup fait suer, nous prendrons en soirée avec les amis le chemin du bar pour nous réhydrater.....Nous arriverons à tomber 4 "pitch" de Caribe !!

Les papotages tournent évidemment autour d'histoires de navigation, et là il y a de quoi faire. Marcel boucle un tour du monde en 9 ans, avec pour entrée en matière un démâtage au milieu de L'Atlantique, suivi par un foudroiement dans le Pacifique lui mettant hors service toute l'électronique.
Très calme et philosophe, il est venu à bout de toutes ces déconvenues,et maintenant il en parle en riant.  François et Patricia ont aussi bien bourlingué avec plusieurs Transats à leur actif .
Comme nous avions tant de souvenirs à échanger , nous avons fait l'auberge Espagnole sur Barth le Maramu de François et Patricia ,en terminant le repas par les traditionnelles bananes flambées.
Quelle bonne soirée.

Petit à petit tous les problèmes se règlent , le dernier à subsister est la clé de contact  qui ne coupe pas le courant dans la position arrêt..... alors que je l'avais remplacée .avant le départ ! Je trouve une solution en fixant sur la clé un bout d'alu qui me permet de décaler un peu la clé pour que le contact se coupe.
De son côté notre pote Jean André est un peu dans la panade. Il attend depuis plusieurs jours la grue pour remettre sa dérive en place. Malheureusement elle est en panne  et depuis 10 jours la réparation est pour demain....... Finalement il fait venir un camion avec une petite grue à l'arrière pour effectuer le travail
La pièce en alu fait quand même le poids respectable de 500kg !
A 3 personnes sur le pont en tirant en poussant et en tournant nous finissons par la faire rentre dans son puits. Pas facile car ça passe quasiment au millimètre près
Notre travail sera interrompu par..............

J'adore  !!!
Sur Sapèto'Q tout semble en ordre de marche, j'ai rangé ma boîte à outils, ça commence à sentir le départ.